Très bon reportage de Media24 sur l’état du 2ème plus grand barrage au Maroc qui, aujourd’hui, n’est qu’à 3,7% de taux de remplissage alors qu’il atteignait plus de 90% en 2015. Si les projets de dessalement en cours de réalisation au Maroc sont à même d’atténuer les effets de cette crise notamment au niveau de l’approvisionnement en eau potable et parfois de l’irrigation, il n’en demeure pas moins qu’ils ne sont pas en mesure de rétablir les écosystèmes naturels détruits par une succession d’années de sècheresse. Face à cette situation qui ne semble pas passagère, il est important de repenser l’efficience et l’efficacité de l’utilisation des ressources hydriques particulièrement dans le domaine agricole qui en est le plus grand consommateur. Dans le même sens, les compagnies de distribution d’eau disposent de leviers d’optimisation considérables. D’après les moyennes internationales, les pertes peuvent atteindre facilement 20% !
Published by Dr. Wael Mohamed Aaminou
Witnessing the 2008 financial crisis unfold in the United States was a defining moment in my career. This experience led me to transition towards ethical finance, which prioritizes the real economy, social welfare, and environmental sustainability. This journey has since taken me across Africa, the Middle East, and Southeast Asia, where I have contributed to shaping financial ecosystems across various sectors, including energy, agriculture, healthcare, and water. These diverse experiences have taught me that development challenges are complex and require a holistic approach, especially when resources are constrained. I have also learned that prioritizing key issues, particularly climate change, is essential. Climate change impacts nearly every sustainability perspective, making it a focal point of my work. In my current work, I leverage my expertise to confront climate challenges and drive the growth of green and inclusive economies, particularly within emerging markets. View all posts by Dr. Wael Mohamed Aaminou
