A entendre ce débat surréaliste sur les records de température et sur la pénurie de l’eau en France actuellement, on a l’impression qu’il s’agit d’un film de science-fiction. La vitesse avec laquelle le changement climatique se manifeste dans des régions qui semblaient jusque-là être épargnées est impressionnante. Si tel est le problème en France que dire du Maghreb ? Au Maghreb justement, nous avons plein de débats à ce sujet également. Néanmoins, en pratique, notre rapport avec l’eau indique que nous continuions notre train de vie le plus normalement du monde avec des cultures de pastèques dans des zones arides (nous en exportons par mal), des cultures de riz (je suis sérieux), des espaces verts arrosés à l’eau potable (ça commence à changer heureusement) et du lavage de voitures avec des volumes importants d’eau (et de plus en plus à domicile)
Published by Wael Mohamed Aaminou
While living in the US, the 2008 financial crisis’ impact on the economy and people pushed me to question the purpose of my job as a financial consultant. I ultimately shifted gears to focus my advisory efforts on fostering a more ethical finance that puts the real economy, social welfare, and environment preservation at the center. With assignments in Northwestern Africa, Middle Eastern and Southeast Asian regions, this journey led me to challenge and shape Impact finance and Islamic finance ecosystems in as varied sectors as energy, healthcare, education, and agriculture. Working in more than 10 countries has taught me that sustainable development challenges are complex, and that a viable solution would start by prioritizing efforts on most pressing issues when resources are limited. This is particularly true for climate change which transversally impacts virtually all SDGs. Today, as a sustainability finance advisor, I mobilize people and resources toward the adaptive challenge of building together the sustainable world that our children and planet deserve. View all posts by Wael Mohamed Aaminou