Sur une échelle de 60 ans, la part des dépenses alimentaires dans le budget des ménages a diminué en raison de l’amélioration des revenus et de l’efficacité de la production et de la distribution alimentaires. Les constats relevés par cet article indiquent que :
- Cette période où l’alimentation était bon marché est dernière nous
- Dans le futur, la part allouée à l’alimentation dans les budgets des ménages très probablement augmentera significativement
- Malheureusement, cela affectera d’une manière disproportionnée les ménages à faible revenus
- Toute chose étant égale par ailleurs, la dépendance aux marchés internationaux alimentaires augmentera et entraînera plus de vulnérabilité aux fluctuations de marché avec un impact sur la balance des paiements
- Le choix de la souveraineté alimentaire implique des décisions difficiles sur la politique agricole, sur la valorisation du m3 d’eau et sur les habitudes alimentaires
Published by Dr. Wael Mohamed Aaminou
Witnessing the 2008 financial crisis unfold in the United States was a defining moment in my career. This experience led me to transition towards ethical finance, which prioritizes the real economy, social welfare, and environmental sustainability.
This journey has since taken me across Africa, the Middle East, and Southeast Asia, where I have contributed to shaping financial ecosystems across various sectors, including energy, agriculture, healthcare, and water. These diverse experiences have taught me that development challenges are complex and require a holistic approach, especially when resources are constrained. I have also learned that prioritizing key issues, particularly climate change, is essential. Climate change impacts nearly every sustainability perspective, making it a focal point of my work.
In my current work, I leverage my expertise to confront climate challenges and drive the growth of green and inclusive economies, particularly within emerging markets.
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