Le dernier rapport de suivi de la situation économique de la Banque Mondiale aborde, entre autres, le thème de la rareté de l’eau au Maroc spécialement au Chapitre 3.
Ce qu’il faut retenir en gros :
- Ressources hydriques de plus en rares avec une possibilité d’aggravation de la situation dans les prochaines années
- Puisque 80% de l’eau est consommé par l’agriculture, c’est à ce niveau que les leviers d’optimisation sont les plus efficaces
- Solutions préconisées :
- 1) Augmenter l’offre en eau
- 1.1) Dessalement
- 1.2) Réutilisation des eaux usées
- 1.3) Récupération des eaux pluviales, cependant, continuer à augmenter la capacité de stockage peut ne pas être suffisant
- 2) Rationaliser la demande en eau
- 2.1) Révision de la tarification de l’eau pour encourager une utilisation plus rationnelle de l’eau
- 2.2) Surveillance plus active de l’utilisation des eaux souterraines
- 2.3) Mise en place de système de quotas négociables
Published by Dr. Wael Mohamed Aaminou
Witnessing the 2008 financial crisis unfold in the United States was a defining moment in my career. This experience led me to transition towards ethical finance, which prioritizes the real economy, social welfare, and environmental sustainability.
This journey has since taken me across Africa, the Middle East, and Southeast Asia, where I have contributed to shaping financial ecosystems across various sectors, including energy, agriculture, healthcare, and water. These diverse experiences have taught me that development challenges are complex and require a holistic approach, especially when resources are constrained. I have also learned that prioritizing key issues, particularly climate change, is essential. Climate change impacts nearly every sustainability perspective, making it a focal point of my work.
In my current work, I leverage my expertise to confront climate challenges and drive the growth of green and inclusive economies, particularly within emerging markets.
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